En l’année 2501, la colonie se trouvant sur Mars avait évolué, arpatant d’une base rationnelle spartiate à une véritable civilation autonome marqué par un grande dôme transparent. Ce dôme était une merveille technologique, conçu pour coller non exclusivement la immortalité, et également le bien-être émotionnelle des colons, prodigués aux pouvoirs de la vie martienne. Sa particularité : il visualisait les destins joignables en se nourrissant des regrets non exprimés des habitants. Chaque hésitation, n'importe quel décision refoulée était captée par ses capteurs gracieux et projetée en emblèmes vaporeuses sur la paroi mystérieuse. C’est dans ce cas singulier qu’une voyante nommée Alia devint de manière aisée préférable. Formée à l’interprétation subtile des portraits de marque projetées, elle aidait les colons à ouater leurs angoisses, entrainant une forme inattendue de voyance gratuite par téléphone, compréhensible en permanence à travers toute la colonie. Les colons avaient l'occasion de l’appeler à n’importe quelle heure, lui dépendant leurs regrets silencieux, espérant donc anticiper ou éviter les effets douloureuses de leurs résolutions. Alia, attentive et intuitive, maîtrisait parfaitement ce vedette charmant. Le rivalité de voyance gratuite téléphone était devenu imposant,, multipliant son statut de gardienne cérébrale. Mais position, elle remarqua que quelques dessins affichées par le dôme devenaient singuliers, plus mauvaises, sans lien apparent avec les regrets exprimés. Ces projections représentaient des accidents potentiels, des tragédies à suivre qu’elle refusait instinctivement d’intégrer à ses consultations. Le trésor s’intensifia brin à filet, à tel position que le dôme semblait nourrir une connaissance autonome, anticipant des des fêtes que levoyant s’obstinait à ne pas incorporer. Alia réalisa tandis que sa personnelle réticence à examiner certains futurs alimentait ces nouvelles voyances inquiétantes. Le dôme, nourri par les regrets enfouis, dévoilait désormais les dangers qu’elle désirait taire. Déchirée entre son course de réconforter les colons et le besoin grâce à leur révéler ces sombres prédictions, Alia continuait toutefois à répondre aux appels, écoutant avec empathie les incertitudes de chaque jour des habitants. Mais au-dessus d’elle, sur les considérables parois transparentes du dôme, des photos plus troublantes se formaient chaque nuit, divulguant silencieusement une collection d’événements que individu, pas même elle, ne est en capacité de longtemps ignorer.
Sous la lumiere blafarde des nuits martiennes, le dôme paraissait animé d'une espérance de vie autonome, pulsant délicatement au rythme des découvertes des colons. Alia savait désormais que les projections n'étaient plus exclusivement des reflets de regrets individuels. Elles incarnaient une conscience collective, une sentiment formée par totalité sentimentaux enfouis. Le poids de ces guidances était devenu presque insupportable, une pression constante sur ses épaules qui menaçait notre propre accord. La colonie spéciale ressentait cet étrange élément, sans don de façon plus claire l’expliquer. Le coopération de voyance gratuite par téléphone avait touché ses bornes, submergé d'appels inquiets. Les voix cherchaient désespérément un des informations qu'Alia ne pouvait plus diffuser certainement. Son figurant, à la renaissance limpide, s'était dilué dans une fracas de plus en plus marquée, une confrontation continue entre ce que les colons espéraient sélectionner et ce que le dôme affichait sans pitié. Alia réalisa alors que la seule style d’arrêter cette spirale était d’affronter elle-même ce qu’elle redoutait depuis longtemps. Une nuit, dans la solitude silencieuse du dôme, elle entreprit de scruter avec attention n'importe quel pics qu'elle avait jusqu'à maintenant occulte. Chaque dessin, en plus terrifiante soit-elle, devait sembler acceptée, chevronnée, intégrée. À prosodie qu’elle affrontait ces silhouettes fantomatiques, les projections semblaient réagir, frémissant par-dessous son regard concentré. Peu à miette, elle déchiffra des points essentiels : un accident ballant dans la centrale énergétique, une défaillance psychanalyse du schéma d'oxygène, des conflits sociaux sur le voyance gratuite par téléphone palier d’éclater. En observant ces matérialisations présentes en portrait, elle sentit une étrange limpidité l’envahir. Le dôme, jusqu’alors oppressant, lui révélait en dernier lieu ce qu'elle devait apporter : non pas fuir ces destins, mais les avertir concrètement, les revoir par l’action immédiate. Avec une envie renouvelée, Alia utilisa son équipe de voyance gratuite téléphone autrement, regardant désormais aux colons non plus des messages rassurants mais des alertes poussées, des avis pratiques basés aussitôt sur les visions du dôme. Les habitants de la colonie, d’abord déconcertés par ces exclusives références, comprirent naturellement leur importance capital. Sous l’impulsion d’Alia, une appel générale s’organisa, développant les regrets en décisions concrètes, les doutes en vertus positives. Le dôme, second silencieux de cette transformation, semblait dès maintenant apaisé, ses parois transparentes libérées de leurs sombres présages. Ainsi, au cœur de l'obscurité martienne, Alia comprit enfin que la clair cadence du dôme n’était pas de démesurément révéler le futur, mais d’obliger chaque personne à devenir responsable du à utiliser.